3.12.2012, Huma Khamis
Les 20 jouets de notre enquête ont été aussi testés en laboratoire. Constat accablant: quatre d’entre eux ne devraient pas figurer sur les étals.
Quatre jouets coupables ne devraient pas se trouver sur le marché suisse cet hiver. Ils sont néanmoins disponibles dans de nombreux pays voisins. Evitez-les si vous faites vos courses de Noël à l’étranger!
Tinga Tinga
Le lion de marque Bandai contient un module sonore et une étiquette en plastique susceptibles de se détacher et de provoquer la suffocation chez des enfants de moins de 10 mois. En outre, l’étiquetage ne remplit pas non plus les critères de sécurité.
Nicotoy
L’ours en peluche de la marque Simba souffre lui aussi lors des tests mécaniques. Son étiquette en plastique se détache à la moindre traction, entraînant également un risque d’étouffement ou d’ingestion.
Nancy
La poupée de la marque Famosa porte une petite dentelle rouge dangereuse en raison de sa teneur en certaines amines aromatiques, des composés cancérigènes interdits par la loi dans les jouets.
Chic-I-girl
Le kit «vamprincess» de Famosa ne serait pas conforme à la nouvelle norme qui entrera en vigueur en 2013 en matière de migration d’étain organique, nocif pour la santé. A noter que la norme actuelle est plus permissive et que le fabricant s’est engagé à revoir son jouet pour l’année prochaine.
