6.9.2022, Sandra Imsand
D’après les mesures de chercheurs de l’Université de Stockholm et de l’EPFZ, il n’existe plus aucun endroit sur la planète où l’eau de pluie serait encore propre à la consommation.
Des composés organofluorés synthétiques (PFAS) ont été retrouvés en Antarctique ou sur le plateau tibétain, deux régions pourtant considérées comme intactes, dans des proportions quatorze fois supérieures aux recommandations de l’Agence de protection de l’environnement des Etats-Unis pour l’eau potable, selon la RTS. Les PFAS s’accumulent dans le corps et peuvent avoir des effets sur la fertilité, le diabète, le cholestérol et le développement de certains cancers. La Confédération indiquait en 2003 déjà qu’il était nécessaire de séparer l’eau de pluie de l’eau potable à cause de la pollution.


