2.6.2019, BP
Le colza est apprécié pour son huile riche en oméga 3.
Les résidus de pressage qui détiennent beaucoup de protéines ne profitent qu’aux animaux, car trop amers pour l’homme. Un groupe de chercheurs de Munich vient d’identifier les molécules qui en sont à l’origine. Le but: développer de nouvelles variétés de colza moins désagréables pour augmenter les sources d’approvisionnement en protéines dont les générations humaines futures auront grand besoin. Un pas vers moins de viande et plus de produits indigènes


